« Il s’appelle Pierre Dessau ». Nous sommes alors le 22 décembre 1959. Un article de la presse parisienne, publie un article sur une personne fraîchement convertie aux principes d’Edouard Leclerc. Seul hic : il décide de les appliquer dans le domaine des boites de nuit !
L’illumination à soudain jailli
« L’illumination à soudain jailli, nous précise-t-il. J’ai compris qu’il fallait que je poursuive l’œuvre de Leclerc. Ce qu’il a fait pour les ménagères, je dois le faire pour les gens du monde odieusement rançonnés dans les boîtes de nuit. »
Le journaliste – Yvan Audouard – demande ; « Quelle sera votre première tête de pont”, réponse de l’intéressé : “L’Epi-Club : puisque l’établissement comporte une épicerie. » [sic]
Comme quoi, la vocation et l’illumination, n’amène pas toujours dans la voix du salut commercial…