En Asie, il y a une petite quinzaine de jours dirons-nous, la dernière petite phrase de Georges Plassat, qui a traversé les couloirs (la phrase on s’entend, pas Georges Plassat !), lors d’une réunion est assez révélatrice de l’esprit qui devrait prévaloir au sein de l’entreprise : « Je ne vous parle pas à vous les intellectuels ! [en s’adressant à des personnes de la direction Asie du Groupe], j’interroge les opérationnels »…
Il faut libérer la parole du terrain !
La vraie rétribution d’un salarié a toujours été de lui offrir plus qu’une simple rémunération mais un sens à son action, pour la défense de valeurs partagées. Entreprendre, c’est agir dans une direction commune et répondre à ses propres préoccupations comme à celles des personnes qu’il connait et qui sert jour après jour : non pas les clients comme beaucoup disent de manière impersonnelle, mais bien cette Mme Michu si elle est française ou Mme Smith si elle est anglaise. Nous sommes évidemment bien loin du raisonnement de la seule carte de fidélité dont on se demande bien qui elle peut bien fidéliser… mais revenons à notre sujet principal : la rémunération n’est donc pas la seule rétribution monétaire de l’action marchande, c’est d’abord l’esprit d’un groupe uni dont l’acteur principal est bien l’employé.
Combien de temps faudra-t-il pour changer l’esprit de la technostructure ?
La valeur de l’entreprise se fait sur le terrain et non dans les sièges, il n’y a que certaines personnes trop hautes dans la hiérarchie pour ne pas savoir regarder en bas et ne pas s’en rendre compte… et laisser remonter l’information de terrain… Le Gemba, comme l’on dit parfois en Asie en désignant “là où se trouve la réalité” et donc la vraie valeur ajoutée a toujours été placé au plus prêt du sol des magasins. Revenons chez Carrefour à la pyramide inversée... Elle faisait des merveilles… N’attendez-pas…
Il est important également d’unifier la politique de recrutement et de salaire
Depuis la fin des recrutement à tout va de l’air Olofsson, les nouvelles intégrations – selon les entités – ne sont pas gérées de la même manière. Fermée ici et encore ouverte là lors d’un congé maternité par exemple… Il est temps de mettre de l’ordre. En effet, les raisons ne sont pas bien claires de savoir qui peut encore ou ne peut pas et selon quels prétextes… en attendant : frustrations et échauffements, voilà le lot qui vous attend !
Pendant les trois dernières années, vous en avez vu beaucoup d’intellectuels dans le groupe ?
de mathématiques peut etre pas de roublardise… faire passer les murs de certains super (environ 97) dans le giron de CRF Property car blue capiltal détient une part plus importante de cette société que du groupe CRF, et ensuite les revendre à La Francaise, joli tour de passe passe…
@Anonyme par obligation : bien vu !
Et puis, ça ne commence pas à devenir rengaine, non, cette petite ritournelle sur ceux qui savent, ceux qui font et … les autres ? Pas mal pour souder les équipes.
Trois dernières années ? Dix dernières années, au moins deux dizaines, des gens brilliants, oragnisés, probablement candidats MENSA, par contre, ils avaient tous un badge externe. Et puis 3 ou 4 avec un badge interne de bonne volonté et plein du sens terrien…mais qui devaient travailler pour les badges externes…missionnés par les N+n (n>=+2), alors ils se sont tus…en continuant d’oeuvrer…quleques rares dinosaures.
Nous vendeurs sommes payés sur la marge, donc remise = 0€.
Une chose est sûr : notre métier est en danger car Carrefour nous supprimes petit à petit avec le site internet Carrefour où vous pouvez acheter moins cher avec plus de choix.
On nous demande de nous aligner sur le site quand le prix magasin est au-dessus, pas bête car si le produit et vendu 200€ sur le site, il y a donc une marge qui est faite alors quand nous vendeurs effectuons une remise et perdons notre commissions. Résultat on habitue le client à se rendre sur le site internet pour ses gros achats, en lui offrant des bons d’achats de 10€ pour avoir acheté sur le site valable uniquement depuis le magasin.
Tous les jours les client viennent en magasin, pour retourner sur le site internet et la phrase qui revient le plus de la bouche des vendeurs :
Réponse vendeur : Désolé Monsieur, nous n’avons pas les produits disponibles sur le site
Réponse clients : Auriez-vous l’équivalent au même prix ?
Réponse vendeurs : Oui, au même prix j’ai le bas de gamme.
Ces phrases sont répétés au moins 10 fois par jour.
Alors nous demander de faire des efforts, d’être toujours +++++ alors que notre propre enseigne nous concurrence et bien cela donne envie de dire “Allez vous faire f…..”
A bon entendeur.
Voua avez dit “carte de fidélité” créée par des intellectuels pour des intellectuels !
Reprenez une intervention il y a 5 ans à l’assemblée des actionnaires !
Ecoutez les épiciers SVP ! Pas toujours les con-sultants…
Au Casino on nous avait collé Chetochine, il vendait à prix d’or nos idées à une direction toute con-tente de payer ! Heureusement, lui aussi il est parti dans les couloirs du temps avec Voldemortadelle etc. !
Dans certains magasins, et en particulièrement un où la mentalité est très délétère, pas très proche du groupe tout en appartenant au groupe : certains cadres, qui n’ont pas la motivation et la culture du groupe et le respects des employées, les employés et employées qui ne sont pas motivés et motivées.
Et il manquerait plus qu’il y ai comme la chanson de Mr Brassens (Les copains d’abords) sauf que la c’était des vrais amis et que c’est sur ils n’ont pas lus l’évangile mais il ne faut pas s’inquiéter la non plus !
Même l’évangile de la grande distribution.
Monsieur le P D G vous qui dite que vous écoutez la base qui travail et qui est aux contacts.
Et bien écoutez les complaintes mais pas celle des troubadours, car elles sont généralement très mal orchestrée et en plus c’est de la poudre aux yeux !
Et on voit bien ou la culture des cathares a menés !
Et pour le groupe Carrefour et bien maintenant c’est le temps des croisades aussi bien de l’intérieur qu’à l’extérieur !