Dans le débat actuel de TVA sociale, se référer aux documents d’archives est une exception. L’enregistrement doit dater des années 1980, sans doute vers 1986.
Edouard Leclerc : « […] Il faut une grande réforme fiscale, j’ai entendu l’autre jour le ministre en parler : Monsieur Ballardur. Il faut vraiment une réforme fiscale…
Il ne faut plus que les charges sociales ne soient plus simplement supportées par les seuls salaires. Il faut donc, en dehors de la TVA économique actuelle, il faut une TVA sociale qui… que l’on paierait sur la consommation et toutes les importations paieraient leur part de charges sociales, toute la production de la robotique paieraient ces charges sociales et nous verrions alors transformer la société française. »
Journaliste : «Oui mais cela ne créerait pas d’emplois ? »
Edouard Leclerc : « Mais si ! Mais si ! […] Du moment que vous avez donné les mêmes charges sociales aux importations. Vous avez une concurrence intérieure qui va se développer très vite, et il ne faut pas avoir peur de dire cela. […] »
Cette logique est toujours la même, chez Michel-Edouard Leclerc cette fois…
Et dire que tous ces financiers prennent les épiciers pour des cons !
Et ne pensez pas que la cliente est une c…, c’est votre femme !