Augmenter la visibilité extérieure des magasins et faciliter le cheminement des clients vers les points de vente restent l’alpha et l’oméga de l’augmentation du taux d’emprise de toute activité commerciale sur sa zone de chalandise.
Du concept d’agence soit-disant innovant vers la difficile réalité magasin
On sait que l’agence Malherbe, spécialisée en retail design – vocabulaire que nous trouvons très “tendance” à défaut d’être très compréhensible et auquel nous préférons “architecture commerciale”, avait travaillé le concept de Carrefour Planet avec l’espoir de réinventer le concept d’hypermarché. Au-delà même du fait que l’agence ne pouvait – selon nous – remettre en cause les fondements de l’hypermarché par le travail qu’elle avait entrepris, elle semblait en tout état de cause plus ouverte à la mise en scène et à la théâtralisation de l’offre qu’à défendre l’aide au choix pour des clients souhaitant gagner du temps et du confort d’achat.
On ne peut plus douter aujourd’hui du lien entre les piètres résultats des magasins ayant basculé dans le concept Carrefour Planet et une mise en musique qui nous semble parfois inachevée : le beau pouvant devenir parfois – pour les clients – l’ennemi du bien.
Aussi, en dépit des erreurs commises ou des espoirs déchus dans le renouveau du concept, c’est aujourd’hui – selon nous – dans sa mise en oeuvre pragmatique et journalière qu’il faut rechercher les solutions pour relancer la machine. Trop d’investissements ayant tué tout espoir de nouveaux investissements lourds, il reste comme toujours à reprendre les rênes des magasins par la mise en application des fondamentaux !
La reconnaissance et la visibilité des magasins Carrefour Planet sont-elles facilités ?
Nous constatons de nombreux visuels dont les différences ne peuvent s’expliquer pour les clients, alors que ces panneaux ont pourtant tous été remodelés sur la même période. La multiplication des visuels amènent pourtant à rendre difficile la reconnaissance de l’enseigne dans la jungle des panneaux environnants.
Revenir aux fondamentaux aurait comme objectif – pour nous – de gommer notamment le terme « Planet » qui n’est évocateur que pour une poignée de spécialistes et continuer à utiliser le terme Carrefour seul ou complété de la désignation du format du magasin, plus segmentant dans l’esprit clientèle.
Preuve que le terme Planet doit être mis en bière ! Photo prise sur Bruxelles, 45 rue de La Fourche.
lol !
Je sais, c’est réducteur, mais que dire de plus… la signalétique, vaste chantier.
Un chantier qu’il faut reprendre à la base pour redonner de la cohérence, évidemment…
A Carrefour Planet Vénissieux (69), Virgin est parti, le rayon culturel a été refait la semaine dernière.
le rayon brico est semble-t-il aussi en train de remonter des gondoles hautes…
Quand vous dites que vous constatez de nombreux visuels dont les différences ne peuvent s’expliquer pour les clients, je suis d’accord, par contre vous dites que ces panneaux ont pourtant tous été remodelés sur la même période, j’oses vous contredire.
En effet sur vos photos, trois CARREFOUR PLANET sont concerné (Athis Mons, La Ville Du Bois et Les Ulis) mais je vous signal que ces signaletique n’ont PAS etait implanté à la même période car le PLANET des Ulis a été ouvert bien avant le PLANET de La Ville Du Bois, dons implantation des panneaux a des périodes différentes et éloigné…
Bien bien. Vous me confirmez donc qu’il n’y a pas de charte graphique en somme dans le temps. Pourquoi ? La connaissez-vous cette charte ? Pouvez-vous nous la faire voir ?
Tous ces panneaux entre dans la chartre, la couleur du logo correspond a la categorie a laquelle appartient le magasin.
Par exemple, La Ville Du Bois n’est pas dans la méme catégorie que les Ulis.
Redoucoupage nationale par catégorie et région.
La charte est donc totalement incompréhensible… Qu’est-ce qu’évoque une catégorie de magasin pour un client ? Le découpage interne n’a pas d’utilité pour l’externe !
J’ajoute que la signalitique en bord de route reste a la charge et donc le choix de chaque magasin, Seul chose à respecter, la disposition de chaque information séparé par des pointillers et la couleur (Bleu blanc rouge ou degrader de bleu) selon le choix du magasin. La police quant a elle reste la méme quelque soit le choix
J’ajoute alors que cela n’a pas de sens !
S’il y a bien des choses qui doivent être centralisées c’est bien cela… en revanche les décisions de terrain doivent être prises sur le terrain, mais pas l’image générale de l’enseigne…