Imaginez, je suis sûr qu’il s’agit là d’un effort qui ne sera pas surhumain. Imaginez donc, le bonheur, la joie, le plaisir de voir votre voiture buter contre le superbe bélier que l’on a laissé trôner sous vos roues et qui devait supporter, il y a longtemps déjà, un poteau renvoyé au cimetière des poteaux oubliés…
Imaginez lorsque le pneu de la voiture monte puis redescend de l’autre côté. Imaginez le plaisir de découvrir les effets des petits tétons d’acier laissés là pour le bonheur du bas de caisse de l’automobiliste étonné…
Un parking Carrefour aujourd’hui en région parisienne
Imaginez comme les parkings étaient dégagés de tout artifice. Imaginez la vie heureuse de ces voitures libérées… Entre les deux photos, 50 ans d’écart. 50 ans de progrès évidemment.
il va falloir payer la retraite chapeau de Plassat, après celle d’Olofsson et de Halley, donc rien pour l’entretien …!