Si vous recherchez des produits identiques aux magasins d’une grande surface bien connue, qui portent les mêmes marques, sortent également des mêmes usines tout en répondant au même cahier des charges de fabrication. Si vous acceptez que ces produits ne puisent plus être distribués dans le réseaux traditionnel pour bon nombre de raisons… alors vous avez trouvé une enseigne discount de revente de produits… signés notamment Carrefour.
« Ça a la couleur de Carrefour, c’est siglé Carrefour… mais ce n’est pas chez Carrefour »
On connaît les dates d’utilisation optimale (DLUO) courte des producteurs pour lesquels les distributeurs ne font pas de remise en cause officielle ? On connaît également les renouvellement de marchandises suite au changement de saison…
Ces opportunités “exceptionnelles” font la qualité de cette offre et l’attractivité évidente de son prix, pour ces consommateurs malins. Cela fait le slogan de cette enseigne que l’on aurait pu traduire par : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ».
Pourquoi ne pas prévoir chez Carrefour, dans son propre réseau, un site spécialisé sur cette question ? On connaît pourtant l’attrait que des événements de vente de masse à prix bas ont eu pour effet, ce n’est pourtant pas si vieux…
Encore des acheteurs qui ont passé des commandes sans demander de prévisionnels aux magasins !
On achète beaucoup pour avoir un soit disant bon prix ! le chef est content…! et on bazardes n’importe où ! La politique de l’enseigne rien à faire… je fais ma petite cuisine pour avoir ma p’tite prime !
On avait évoqué le problème des achats de textile depuis l’an passé. Les promotions sont passées par là, mais la main n’a pas été rendue aux magasins avec Retalix… une division de NCR Retail.
Vous avez dit “centralistation” ? Paris ne s’est pas fait en un jour… mais c’est toujours frustrant. Surtout lorsque des clients font vouloir appeler le service consommateurs puisque les produits ne sont pas démarqués !
Allez chez Emmaüs. Vous trouverez aussi des produits non alimentaires venant de nos magasins : retour accueil non vérifié, surstocks, etc. Ah les dons aux associations caritatives n’ont jamais autant intéressés le magasin dans lequel je travaille dès lors que c’était déductible d’impôts sur les bénéfices (et je ne parle pas des dérives que cela a pu engendrer…).
Les prévisionnels ? Encore faut-il que les managers puissent les faire dans de bonnes conditions et pas à l’arrach. !
Les dons on toujours existé, mais pas forcément avec cette finalité… Nous ferons un article à ce sujet.
C’est sous Retalix ou sous Retaline qu’il est le chef !
En tous cas y a un actionnaire qui va interpeller le conseil pour non respect de la loi sur la fumée dans les lieux public et non respect du règlement général de l’entreprise ! Est ce un cas de licenciement pour faute lourde ? Quand on fume le cigare dans son bureau en réunion ?
En effet, les dons alimentaires dans le magasin où je travaille continuent malgré la suppression de la réduction fiscale.
Par contre, moins de volumes avec les nouveaux stickers (remise immédiate en caisse de 0.5, 1, 2 ou 3€ selon le prix du produit) pour gérer les dates courtes.
Mais ces produits sont-ils déréférencés aujourd’hui ?
@Xavier
Ce qu’il faut le plus faire fumer c’est le développement, la croissance…
“Redonnons la main au magasin…” “Redonnons la main au magasin…”
C’est un slogan qui devrait fonctionner…
@Dramatisation
J’espère… parce que sinon, je comprends plus…
@ le loup
Mais j’ai l’impression qu’il fume, outre le cigare, surtout la moquette !
Il en perd même la mémoire !
C’est l’intérêt qui guide le monde disait Edouard Leclerc…
le don aux associations sur le nonal ne fonctionne pas avec une déductibilité fiscale, juste sur l’alimentaire mais comme l’on doit réduire la démarque, mise en place des dates courtes (réduction en euro en hyper et en pourcentage en super), donc plus de dons. Par contre, jeter les produits suspecté d’être du cheval dans les enseignes, quel gaspillage… Et jeter 3 yaourt car le 4 ème est cassé, quel gaspillage… Encore du travail. Pour le nonal, on semble privilégier les opérations type liora, kappa, alessi que notre fonds de rayon avec ses ruptures… Et puis faudrait il également que l’on soutiennent les magasins dans leurs engagements… Le pouvoir est rendu, la centrale propose un produit “ambition CA” sur lequel on doit s’engager (ex : pringles, jambon herta ou fleury michon, …), le magasin considère que le produit n’est pas exceptionnel ni son prix, il ne s’engage pas, pas grave, flux poussé de la centrale et casse en magasin… Il est où le pouvoir de dire non…CQFD.
Encore dans le tuyau… cela arrive
Hola quiero comprar palets para mercadillos en españa saludos
No podemos bajo este enfoque.