“Qu’y a-til de nouveau dans le commerce ? RIEN et TOUT” disait Bernardo Trujillo en ajoutant : “parce que j’aime bien les paradoxes”.
Que avenir du commerce peut-on anticiper ?
RIEN, parce que l’homme ne change pas. Ses craintes, ses besoins, ses désirs, ses rêves sont les mêmes : recevoir toujours plus, en donnant le moins possible. Et ceux qui répondent à cette attente sont assurés du succès.
TOUT, parce que les techniques évoluent et changent, poussées de l’avant par les découvertes scientifiques. Productivité et production s’accélèrent. Le commerce ne peut plus être un goulot d’étranglement. Ce qui est produit en masse doit être vendu en masse, ce qui est fabriqué par une machine ne peut plus être distribué à la main.
Il faut donc relancer la machine à vendre chère à Bernardo, pour redonner de l’avenir au commerce. Merci Trujillo…