Certaines personnes de la direction générale semblent ne pas avoir intégré l’esprit de liberté qui soufflait chez Carrefour. Liberté qui soufflait de la volonté de ses fondateurs. Sans doute recommandera-t-on une lecture salvatrice sur cette question. Espérons qu’ils puissent s’imprégner. Nous aurons fait des remarques amusées sur ce sujet. Restons positif… En tout cas pour d’agir et redonner au terrain toutes ses lettres de noblesse.
L’ennemi de Carrefour n’a jamais été l’externe mais Carrefour lui-même. Pour être plus exact, ceux qui croient – arrivé en haut – être à l’apogée d’une carrière ne font finalement que débuter cette fois au service des autres. L’action de décentralisation est tributaire de cet effort.
De l’époque des cowboys à la réinvention permanente
Ce que certains appellent l’époque des « cowboys » est concerté sur les premières années de forte croissance de l’enseigne. Sans nul doute révolue aujourd’hui, en tout cas en France. Cette période a été suivie par l’époque des gestionnaires et celle aujourd’hui des financiers.
Aujourd’hui doit advenir une nouvelle période : celle de la réinvention permanente. Pour que Carrefour réinvente Carrefour. Nous avons à plusieurs reprises donné des pistes en droite ligne avec l’esprit évoqué par Georges Plassat. C’est dans son entourage direct, toutefois, que les réticences les plus fortes se font ressentir.
Trop d’intérêts particuliers à défendre de leur part sans doute ! Trop d’intérêts financiers qui pourraient ne plus être satisfait en effet. En tout cas, en restant toujours positif, il est temps d’agir à présent et de mettre toute l’entreprise au service de ceux qui servent et ceux qui sont servis. C’est important. Pour s’en convaincre, il suffit de visiter des centres commerciaux et voir à quel point les commerces se vident ! Combien de magasins fermés ? Combien d’espaces abandonner ?
Ce n’est pas une crise que nous subissons, c’est une société (avec petit et grand S au choix) qu’il faut réinventer.
Pour une prise de conscience généralisée
Pour le moment, il est temps de développer cette nouvelle conscience de l’entreprise. Conscience d’elle-même et de son impact sur la population. Conscience de ses forces internes à se réformer et de ses capacités à réformer notre Société. Conscience en tout cas qu’une réforme de cette ampleur ne peut venir que du terrain.
Pour cela, nous vous proposons plusieurs visuels. Nous vous suggérons de nous faire part de vos remarques, modifications, propositions… en utilisant, en bas de cet article, le module ‘commentaire’.
Chacun est libre de participer.
Remarque : c’est illustration de sont pas des publicités officielles de Carrefour.
Instructif et réel.
Je vote pour le 1 et le 6…
Je suis d’accord avec le 1 et le 6 moi qui est connu
Toutes les étapes cités plus haut depuis 1977.
M. Plassat doit voir les magasins sans en informer
La hiérarchie , la vision des gondoles vides lui remontrera
La réelle etendue des degats. Mais il l’a surement deja fait.
Un ancien
La baseline du 1/ & 6/ amène à réfléchir. Mais l’image d’un cerveau comme là, c’est un peu comme présenter des abats tous frais dans une assiette d’un grand restaurant: le client appréciera-t-il ?
Quant au 4/, la liberté porteuse de ballons de couleurs enchaînés prête à confusion sur l’union d’esprits libres ou un lien ombilical qu’il serait vain de trancher pour la viabilité des 370.000 dont je ne fais pas partie.
Remarquez : j’y fais souvent mes courses et y observe le merchandising avec beaucoup d’intérêts.
Bonne merde à tous.
;0P
Les ballons libres volent groupés, c’est la symbolique recherchée.
N’hésitez pas à faire des propositions. Elles seront diffusées si vous le souhaitez.
La une ,la deux ,la trois,la quatre ,la cinq !
Vous ne hiérarchisez pas ?
C’est les gens des hypermarchés qui font vivres et font la richesse du groupe Carrefour !
Carrefour ne souffre-t-il pas assez avec le mot “hiérarchie” !
Qui dit privilège, etc !
M. Plassat a bien dit : “plus de langue de bois chez Carrefour” !
Encore une fois, la 1 “oppose” siège et magasin et encore une fois, de mon point de vue, ce n’est pas le sujet. Il y a autant à dire sur le siège que sur le magasin, votre article le démontre bien. Alors cessons de nous opposer les uns aux autres, nous sommes nos meilleurs ennemis (vous l’écrivez aussi dans votre article).
Pour mon choix, c’est compliqué : le visuel de la cervelle me dégoûte … bon, je vais réfléchir à une proposition.
A bientôt …
La prise de conscience n’est pas évidente encore dans le groupe de l’interdépendance des “acteurs”, comme l’on dit parfois.
Votre proposition sera reçue avec le plus grand intérêt.
Pénélope, on écrit sur Carrefour mais rien n’avance dans les hypermarchés. Le blocage se fait du Directeur (lui il a peur pour la suite de sa carrière), en passant par le manager (lui a peur d’être licencier), jusqu’à l’ELS (lui, c’est à force de le prendre pour un c… lui devient neutre) !
;-) Eztebe, c’est tout pareil au siège.
D’une autre façon mais le résultat est le même : la force d’inertie.