Non, vous ne rêvez pas. Les étiquettes électroniques sont une folle idée alors que certains pensaient que c’était sans doute le Graal de l’épicerie moderne. Définitivement, non !
Pour exemple, voici une boisson qui a fait parlé d’elle lors de son lancement. Une notoriété judiciaire sur les débuts, qui avait finalement trouvé une sortie honorable.
Sans lien, cette marque utilise un logo Carrefour non conforme sur sa page internet. Comme nous l’avions dit, ces faux logos se multiplient grandement ici et là.
Les étiquettes électroniques à la traîne
Alors que l’affichage devait mettre en avant les prix, à défaut des prix bas pour le moins, voici que cela bug sur l’électronique parfois en magasin. Même des personnes importantes et bien placées pour l’enseigne le disent, mais en terme de changement pour le moment : rien.
Un véritable budget est pourtant mis en place pour les magasins : on n’y pense pas comme client mais la “location” des piles, c’est de quoi vous mettre à plat… Et même lorsque cela fonctionne : une lecture des tarifs est difficile, tout comme les descriptifs : microscopiques… Les clients eux vont au plus simple sur le principe : “j’ai pas vu le prix, j’ai pas pris le produit “, de quoi avoir la gueule de bois sur le chiffre d’affaires en magasin !
Cela nous rappelle Alcibiade, lors d’un banquet, que certains éclairés rattacheront ici… Et l’on ne parlera même pas d’un distributeur concurrent, il est vrai hors de nos frontières, qui va jusqu’à interdire l’alcool dans ses rayons.
Tiens, il y a une MDD chez Carrefour en Pastis ?